Les dynamiques bio-inspirées sont l’expression de l’élan
généré par le lien indissociable de la vie et du mouvement.
Elles donnent forme aux nouvelles spirales de l’innovation
au cœur des projets co-élaboratifs.
C'est au travers de telles dynamiques bio-inspirées
que les PERMAindustries prennent forme et se développent.
vie & mouvement
Sources de Bio-inspiration
Voici 4 expressions de la vie
qui permettent de développer de puissantes dynamiques bio-inspirées
pour initier et développer les PERMAindustries
Ce sont 4 repères importants
pour la mise en œuvre de l’écocircularité PERMAindustrielle
L'eau
Tout comme la vie et le mouvement, la vie et l’eau sont indissociables.
L’eau est ubiquitaire, elle est omniprésente. Elle bio-inspire toutes les échelles écocirculaires PERMAindustrielles.
3 grands principes éthiques guident les dynamiques bio-inspirées de l’eau :
. prendre soin de l’eau courante, et en prenant soin de l’eau, prendre soin de la Terre
. faire attention à l’eau que nous buvons, pour soi-même, pour ses proches et pour la communauté
. être vigilant à la distribution de l'eau, à son extraction, à sa consommation, et à la gestion des surplus.
Les arbres
Voici 2 illustrations de dynamiques bio-inspirées des arbres au service du développement des PERMAindustries :
. la mise en place de réseaux digitaux de communication, à l’image des réseaux naturels d’information souterrains au travers des lesquels les arbres communiquent
. l’utilisation de cartes heuristiques (mind maps) pour concevoir et mettre en place de nouveaux flux PERMAindustriels.
Les fleurs
La dynamique bio-inspirée des fleurs appliquée aux champs PERMAindustriels permet de structurer le cycle de vie des actifs PERMAindustriels à la façon d’un cycle de vie botanique : de la graine à la plante et à ses fleurs, de la pollinisation au fruit et à la graine.
Les mycorhizes
Les mycorhizes résultent de l'association symbiotique de champignons et de racines végétales. Appliquée aux champs PERMAindustriels, la dynamique bio-inspirée des mycorhizes permet de mettre en valeur les interfaces et les activités d’intégration qui font que les symbioses industrielles fonctionnent ou ne fonctionnent pas.